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lundi 16 juillet 2012

Les 1369 kms les plus rapides : la Hongrie

Jeudi 5 juillet 2012

Au petit dej, mecanique : Pier rehausse Skargotte pour pouvoir passer dans les chemins sans toucher et pour que l'aile avant gauche ne touche pas la roue - et tant qu'a faire, pour pas que le pneu creve, on serait emmerde !



On roule en continue jusqu'a Budapest par une chaleur lourde.
Nanette, Clairon, Catherine, je n'arrete pas de penser a vous car je reussis mes vinaigrette a tous les coups : aucun probleme de difference de temperature, huile, vinaigre, moutarde, tout est a 50 C !!!

A quelques kilometres de Budapest, nous recevons (ca me parait plus juste que le terme essuyer) un orage dement'ciel !!! C'est absolument impossible de rouler par cette pluie diluvienne, car on y voit strictement rien, les essuies-glace n'ont qu'une seule vitesse ... aussi rapide que la tuture ;-)




Alors on s'arrete pour 5 minutes au debut comme tout le monde. A mesure que l'orage bouge, on avance jusqu'a que ce ne soit plus possible et on prend une tangente pour l'observer au milieu des champs de tournesols. Tant qu'a faire, autand se rincer l'oeil - palapapala la ! :-) On s'arretera 2h au final.






Meme la station service ou on est oblige de s'arreter une enieme fois a subit l'orage : c'est la panne de courant. Je mets la photo car j'adore ces ambiances apocalyptiques !



Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises. On reprend la route vers 22h toujours en direction de Budapest. Meme s'il est maintenant difficile de la visiter, je serai tres decue de ne pas au moins y passer de nuit.




Cette traversee nocturne sera tout simplement spectaculaire !! L'autoroute qui y mene est d'une telle largeur qu'elle laisse imaginer les dimensions de la ville. Tout est scintillant a 160 degres devant nous, les panneaux publicitaires sont absolument gigantesques et la musique tzigane, a fond dans notre 4roues, accompagne la cadence effrenee de notre '"incursion" (?). Meme a cette heure, la ville est vivante et semble folle. Les batiments sont impressionants, demesures. Le surmoderne cotoie l'epoque classique hongroise, a quoi se mele le "post moderne communiste", delabre.



Les photos ne rendent pas grand chose, pour la plupart elles sont floues !

On sort de la ville d'une traite, enchantes, presque enivres !!!

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